Me sentir bien dans ma peau, dans ma vie, c'est de ma responsabilité. 

Ce ne sont pas une meilleure situation, ni des personnes extérieures qui peuvent me rendre heureux.se. 

Seulement moi.

J'ai d'ailleurs aussi le pouvoir de me rendre malheureux.se, ou de me sentir mal dans ma vie comme dans ma peau. C'est juste un choix.

Une façon de voir. De me voir. De voir le monde et les événements...

Je peux choisir d'aller mal, je peux décider que ce monde est pourri. 

Je peux aussi décider d'être heureux.se, de mon réveil jusqu'à mon coucher, quels que soient les événements de la journée. Je ferai avec... 

Je peux décider d'aimer ce monde, d'aimer les gens, de m'aimer...

Je peux faire quelque chose pour cela. Pour m'aimer, pour aimer les gens, pour aimer ce monde : méditer.

Méditer m'apportera le calme intérieur, et permettra à chacune de mes cellules de se mettre à sourire... Les recherches scientifiques actuelles qui étudient l'activité du cerveau pendant la méditation des moines bouddhistes, entre autres, montrent que leur santé se renforce et s'améliore. 

Les risques de maladies du siècle (cancers, AVC...) diminuent de façon considérable. (Cf. Les expériences avec Mathieu Ricard, traducteur français du Dalaï-lama). Leur mental s'apaise durablement.

Méditer a aussi une action bénéfique sur mon entourage. Le psychologue canadien Guy Corneau, dans son livre Le Meilleur de Soi, évoque un congrès de méditation à Manhattan. 2000 personnes ont médité toute la journée durant 15 jours d'affilée. Les rapports de police signalent une baisse de 75 % de la criminalité dans ce quartier de New-York pendant cette période.

Méditer n'est pas difficile. Ni ennuyeux. 

Au contraire.

Chaque fois que je fais quelque chose en conscience, je médite.

Chaque fois que je m'arrête pour observer tranquillement un enfant, une fleur, un paysage, un animal, je médite.

Chaque fois que je suis présent.e à ce que je fais, sans penser à autre chose, comme un jeune enfant ou un chaton qui joue, je médite.

Il n'est pas nécessaire de se mettre en lotus pour méditer, ni de savoir faire du yoga...

Je peux méditer debout, assis.e ou allongé.e, suivant le temps que je décide d'y consacrer, suivant les circonstances.

Je peux me faire de plus en plus de bien, je peux faire sourire tout mon corps, entretenir ma santé, apaiser mon mental aussi bien que mon entourage (même si ce n'est pas le but premier), en apprenant à méditer et en méditant un peu chaque jour ; en suivant des séances comme celles proposées dans ce site. 

Je peux aussi inventer mes propres séances, pour moi ou pour ma famille, mes amis, des collègues... Ce site vous donnera quelques conseils pour construire vos séances.

Méditer apprend aussi aux jeunes et aux moins jeunes à développer et utiliser leur imagination.

C'est grâce à elle qu'on peut créer toutes sortes de choses, et notamment les solutions pour sortir d'une impasse, pour résoudre un problème.

Pour citer Einstein ; Un problème sans solution est un problème mal posé. et de lui encore :  L'imagination est plus importante que le savoir. 

Je suis persuadée que méditer augmente l'utilisation que nous faisons de notre brillant cerveau dont nous avons la mauvaise habitude de nous servir si peu...